Il semblerait qu’une explosion ait eu lieu cette après-midi dans le bâtiment abritant le quartier général des services secrets saoudiens à Riyadh.
Le Prince Bandar Bin Sultan, ancien ambassadeur à Washington de 1983 à 2005, a été nommé chef des services secrets saoudiens Jeudi dernier. Son adjoint et bras droit a, semble t’il, été tué à cette occasion.
Pour le moment les médias saoudiens n’ont pas soufflé mot de cette affaire et il faudra attendre d’en savoir plus afin d’en tirer quelques enseignements. Si l’explosion était confirmé d’une part, et si elle était d’origine terroriste et non pas accidentelle d’autre part, il faudrait attendre de savoir qui en sont les auteurs.
Quoi qu’il en soit, s’il est confirmé que c’est un attentat, cela démontrerait que la stabilité du royaume saoudien est de plus en plus compromise et qu’il ne faudrait pas trop miser sur la maison des Saoud.
Ce qui expliquerait pourquoi les USA, la Grande-Bretagne et la France se sont soudain entichés du Quatar depuis quelques années, encourageant d’ailleurs par là ce dernier à se poser en rival politique de l’Arabie-Saoudite partout où il peut.
Le Prince Bandar Bin Sultan, ancien ambassadeur à Washington de 1983 à 2005, a été nommé chef des services secrets saoudiens Jeudi dernier. Son adjoint et bras droit a, semble t’il, été tué à cette occasion.
Pour le moment les médias saoudiens n’ont pas soufflé mot de cette affaire et il faudra attendre d’en savoir plus afin d’en tirer quelques enseignements. Si l’explosion était confirmé d’une part, et si elle était d’origine terroriste et non pas accidentelle d’autre part, il faudrait attendre de savoir qui en sont les auteurs.
Quoi qu’il en soit, s’il est confirmé que c’est un attentat, cela démontrerait que la stabilité du royaume saoudien est de plus en plus compromise et qu’il ne faudrait pas trop miser sur la maison des Saoud.
Ce qui expliquerait pourquoi les USA, la Grande-Bretagne et la France se sont soudain entichés du Quatar depuis quelques années, encourageant d’ailleurs par là ce dernier à se poser en rival politique de l’Arabie-Saoudite partout où il peut.
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