Décidément c’est dur d’être américain par les temps qui courent, surtout au Moyen-Orient.
Tiens, cher lecteur, il vous suffit de demander son avis à notre illustre Tata Hillary bien aimée, digne membre des RBT (Représentant du Bien sur Terre). Car notre chère et bien aimée Tata Hillary, amazone en chef du très digne et démokratic gouvernement des USA, a subi lors de sa dernière tournée au Moyen-Orient une épreuve auprès de laquelle celle que subissent les Palestiniens depuis soixante ans pâlit en comparaison.
Figurez-vous, cher lecteur, que Tata Hillary s’en est allé en Egypte, probablement afin de serrer de près les nouveaux gouvernants démocratiquement élu par le peuple Egyptien (si, cette fois c’est vrai), au grand chagrin du gouvernement démokratic des USA auquel appartient dame Clinton, comme vous le savez bien. Par conséquent, puisque les RBT n’ont pas pu se mettre le peuple égyptien dans la poche, il était urgent de mettre le gouvernement nouvellement élu au courant des pratiques des RBT lorsqu’il s’agit de politique étrangère et de souveraineté nationale, pratiques qui se résume par la fameuse phrase de Noam Chomsky à propos de la politique étrangère des USA :
« We own the world »
Ce qui signifie concrètement parlant que les gouvernements des états intéressant les RBT (en gros tous) doivent faire les quatre volontés des RBT évoqués ci-dessus sans quoi ils risqueraient de subir des représailles qui pourraient leur coûter cher. Voir à ce sujet les exemples les plus récents : Libye, Yemen, Irak, Afghanistan où encore Syrie quoi que dans ce cas là il n’est pas certain que l'expérience tourne comme on le voudrait.
Peu importe, le cas Egyptien était pressant. En effet on ne pouvait pas se permettre de laisser le nouveau gouvernement égyptien sans aucune notion de ce qu’il devait faire de sa politique étrangère. Bien entendu les remerciements d’usage ne sont jamais oubliés dans ces cas de coopération « volontaire ».
Eh bien figurez-vous, cher lecteur, la stupéfaction de Tata Hillary lorsqu’elle se retrouva accueillie par le cher peuple égyptien à coup de tomates et de chaussures et aux cris de « Monica ». Avouons ensemble que ce n’est pas très subtil, surtout « Monica ». Cela fit beaucoup de peine à notre Tata Hillary bien aimée, elle en aurait eu les larmes aux yeux si elle en avait été capable. Ceci dit, il vaut mieux être bombardé à coup de tomates et de chaussures, même à talons, qu’à coup de drones comme cela arrive à tant de monde sur cette planète de par les seuls desiderata de Drônobama, Prix Nobel de la Paix svp, chef de Hillary l’amazone.
Ceci dit il lui arriva bien pire encore. En Israël elle ne fût pas accueilli à coup de tomates ou de chaussures à talons. Non, cette fois ce fût à coup de balles qu’on lui fit comprendre qu’elle était malvenue. Oui, il parait que l’on tira sur sa voiture. Bien évidemment personne ne parla de cet accueil dans la presstitute occidentale, et encore moins aux USA où cela aurait peut-être étonné le brave américain du Missouri qui croit peut-être encore ce que son gouvernement bien aimé ne cesse de lui raconter à longueur de journée, à savoir que les USA sont adorés par le monde entier (par l’univers aussi d’ailleurs) et que chaque habitant de toutes les galaxies connues et inconnues (surtout ces dernières) envient le mode d’inexistence des américains et qu’ils n’ont qu’un désir dans la survie : survivre comme un américain et bénéficier de ce fameux « way of life » non-négociable, selon la fameuse expression de Busch senior.
Bien entendu vous pouvez imaginer la douleur de Tata Hillary face à ces manifestation de jalousie, car c’est bel et bien ce qu’elle en conclut. Pourquoi être si jaloux alors que des milliards sont déversés volontairement par le contribuable américains dans les caisses égyptiennes et israéliennes chaque année afin d’améliorer la paix dans le monde et de promouvoir l’amour entre les peuples (surtout les Palestiniens) ?
Tata Hillary vient de découvrir que les peuples sont ingrats envers leur bienfaiteurs. Mais rassurez-vous elle est bien décidé à poursuivre son oeuvre de bienfaisance universelle, quoi qu’il puisse lui en coûter.
En attendant, voici les conclusions que nous pouvons modestement tirer de ces deux épisodes réjouissant :
1) les fanatiques israéliens haïssent les Américains sans lesquels ils ne seraient plus les habitants d’un pays nommé Israël.
2) les fanatiques Israéliens sont plus rancuniers que les Egyptiens.
3) les USA n’ont aucuns amis dans la région.
4) contrairement à ce que nous raconte la presstitute les événements de Syrie n’ont rien fait pour améliorer l’image catastrophique des RBT aux yeux des populations arabes, bien au contraire.
Pendant ce temps là tout le monde est content à Cochon sur Terre, le meilleur des mondes.
Tiens, cher lecteur, il vous suffit de demander son avis à notre illustre Tata Hillary bien aimée, digne membre des RBT (Représentant du Bien sur Terre). Car notre chère et bien aimée Tata Hillary, amazone en chef du très digne et démokratic gouvernement des USA, a subi lors de sa dernière tournée au Moyen-Orient une épreuve auprès de laquelle celle que subissent les Palestiniens depuis soixante ans pâlit en comparaison.
Figurez-vous, cher lecteur, que Tata Hillary s’en est allé en Egypte, probablement afin de serrer de près les nouveaux gouvernants démocratiquement élu par le peuple Egyptien (si, cette fois c’est vrai), au grand chagrin du gouvernement démokratic des USA auquel appartient dame Clinton, comme vous le savez bien. Par conséquent, puisque les RBT n’ont pas pu se mettre le peuple égyptien dans la poche, il était urgent de mettre le gouvernement nouvellement élu au courant des pratiques des RBT lorsqu’il s’agit de politique étrangère et de souveraineté nationale, pratiques qui se résume par la fameuse phrase de Noam Chomsky à propos de la politique étrangère des USA :
« We own the world »
Ce qui signifie concrètement parlant que les gouvernements des états intéressant les RBT (en gros tous) doivent faire les quatre volontés des RBT évoqués ci-dessus sans quoi ils risqueraient de subir des représailles qui pourraient leur coûter cher. Voir à ce sujet les exemples les plus récents : Libye, Yemen, Irak, Afghanistan où encore Syrie quoi que dans ce cas là il n’est pas certain que l'expérience tourne comme on le voudrait.
Peu importe, le cas Egyptien était pressant. En effet on ne pouvait pas se permettre de laisser le nouveau gouvernement égyptien sans aucune notion de ce qu’il devait faire de sa politique étrangère. Bien entendu les remerciements d’usage ne sont jamais oubliés dans ces cas de coopération « volontaire ».
Eh bien figurez-vous, cher lecteur, la stupéfaction de Tata Hillary lorsqu’elle se retrouva accueillie par le cher peuple égyptien à coup de tomates et de chaussures et aux cris de « Monica ». Avouons ensemble que ce n’est pas très subtil, surtout « Monica ». Cela fit beaucoup de peine à notre Tata Hillary bien aimée, elle en aurait eu les larmes aux yeux si elle en avait été capable. Ceci dit, il vaut mieux être bombardé à coup de tomates et de chaussures, même à talons, qu’à coup de drones comme cela arrive à tant de monde sur cette planète de par les seuls desiderata de Drônobama, Prix Nobel de la Paix svp, chef de Hillary l’amazone.
Ceci dit il lui arriva bien pire encore. En Israël elle ne fût pas accueilli à coup de tomates ou de chaussures à talons. Non, cette fois ce fût à coup de balles qu’on lui fit comprendre qu’elle était malvenue. Oui, il parait que l’on tira sur sa voiture. Bien évidemment personne ne parla de cet accueil dans la presstitute occidentale, et encore moins aux USA où cela aurait peut-être étonné le brave américain du Missouri qui croit peut-être encore ce que son gouvernement bien aimé ne cesse de lui raconter à longueur de journée, à savoir que les USA sont adorés par le monde entier (par l’univers aussi d’ailleurs) et que chaque habitant de toutes les galaxies connues et inconnues (surtout ces dernières) envient le mode d’inexistence des américains et qu’ils n’ont qu’un désir dans la survie : survivre comme un américain et bénéficier de ce fameux « way of life » non-négociable, selon la fameuse expression de Busch senior.
Bien entendu vous pouvez imaginer la douleur de Tata Hillary face à ces manifestation de jalousie, car c’est bel et bien ce qu’elle en conclut. Pourquoi être si jaloux alors que des milliards sont déversés volontairement par le contribuable américains dans les caisses égyptiennes et israéliennes chaque année afin d’améliorer la paix dans le monde et de promouvoir l’amour entre les peuples (surtout les Palestiniens) ?
Tata Hillary vient de découvrir que les peuples sont ingrats envers leur bienfaiteurs. Mais rassurez-vous elle est bien décidé à poursuivre son oeuvre de bienfaisance universelle, quoi qu’il puisse lui en coûter.
En attendant, voici les conclusions que nous pouvons modestement tirer de ces deux épisodes réjouissant :
1) les fanatiques israéliens haïssent les Américains sans lesquels ils ne seraient plus les habitants d’un pays nommé Israël.
2) les fanatiques Israéliens sont plus rancuniers que les Egyptiens.
3) les USA n’ont aucuns amis dans la région.
4) contrairement à ce que nous raconte la presstitute les événements de Syrie n’ont rien fait pour améliorer l’image catastrophique des RBT aux yeux des populations arabes, bien au contraire.
Pendant ce temps là tout le monde est content à Cochon sur Terre, le meilleur des mondes.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire