mardi 4 décembre 2012

Olivier Delamarche : le risque d'une catastrophe n'est pas parti.



- Toute nouvelle est bien prise : les bonnes comme les mauvaises.

- Réindustrialisation des USA ? L'ISM d'hier n'a pas l'air de le montrer.
(Note : l'Indice de la Production Manufacturière US publié hier s'est révélé nettement sous les attentes, passant sous la barre des 50 délimitant la récession de l'expansion. Il est ressorti a 49.5 %, chutant de 2.2 points, alors qu'on l'attendait à 51.2 %).

- Ma prévision est de 2000 sur le CAC et de 500 sur le S&P quand les marchés auront cessé de jouer.

- Les banques espagnoles couteront € 400 milliards.

- L'Espagne, c'est la Grèce.

- Mais on y arrivera en France aussi.

- Au rythme des bétises qu'on accumule, je ne suis pas sûr que le marché tienne encore longtemps.

- Le risque d'une catastrophe n'est pas parti.

- Le fait est que si Draghi met ses paroles en acte (QE infini), on le payera très cher.

- Pourquoi Bernanke n'imprime t'il pas $ 26.000 milliards pour payer la dette d'un coup si imprimer indéfiniment n'a aucune conséquence ?

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