Que ne faut-il pas lire de nos jours, chers lecteurs !
A en croire notre presstitute préférée c’était prévu d’avance, tout le monde le savait, cela ne faisait aucun doute pour personne et blablabla...
Extraordinaire !
Une fois encore soit on nous prend pour des c... soit la capacité de mémoire des habitants de Cochon sur Terre ne dépasse pas les trente secondes (selon notre théorie bien connue).
Où les deux à la fois, ce qui est le plus probable.
Tous ces « experts », « kremlinologues » et autres « spécialistes » qui n’ont cessé de détecter des crises entre le président russe et son premier ministre pendant des années, ceux là qui n’ont cessé de prendre leurs petits fantasmes de midinettes politiques germanopratines pour la réalité; les mêmes qui nous prédisaient avec les airs gourmands et gourmés de ceux qui sont en relation directe avec dieu que Medvedev et Poutine étaient à couteaux tirés ; ceux qui prennent la projection de leurs superstitions politiques pour des analyses en nous répétant à longueur d’année que l’un représentait la Russie « moderne », donc « progressiste » (forcément), et l’autre la Russie réac, ringarde et compagnie (on connaît le volapuk de ces gens là, et ce d’autant mieux que son répertoire en est très très limité) ; ceux encore qui nous prédisaient une candidature du Président Medvedev à la présidentielle contre Poutine et blablabla....
Eh bien figurez-vous, chers lecteurs, que tous ces crétins idéologiquement diplômés avaient raison ! Oui, oui, oui, ils avaient raison sur toute la ligne depuis le début. Que Poutine soit candidat à la présidentielle adoubé par Medvedev qui lui-même deviendra le chef de file de la liste de Russie Unie aux élections législatives pour finir Premier Ministre, eh bien oui, ils l’avaient prédit depuis le départ...
Nous voilà rassurés...
Manque de chance ils ont oubliés que les dirigeants Russes ne ressemblent pas aux nôtres, ces pantins incapables d’aucune conviction ni d’aucune perspective à plus long terme que celles des prochaines élections, ces marionnettes manipulées par les sondages et autres tartufferies dont notre digne époque se prétend si fière, comme l'ex sauveur de l'humanité vient de nous donner une preuve de plus avec son lamentable discours prononcé à l'ONU.
Eh bien tant mieux s’ils avaient raison à la fin !
Car c’est un gage de stabilité pour la Russie à l’aube d’une décennie qui s’annonce très agitée et qui risque d’accoucher de bouleversements que bien peu sont capables d’imaginer, sans parler de leurs conséquences.
Bien entendu, pour nos ayatollahs du progressisme, stabilité équivaut à stagnation voir régression (ô anathème !), vision à long terme signifie autoritarisme voir dictature etc... Poutine est assimilé à Staline, même si sa popularité peut faire s’évanouir de jalousie TOUS les politiciens de l’hémisphère occidental ; ils ne cessent de nous remémorer à quel point la Russie est corrompue (c’est bien connu nos démokraties ne le sont ABSOLUMENT pas), à quel point la Russie est un pays où les libertés sont inexistantes (les nôtres sont florissantes et se développent à vue d’oeil, bien entendu) etc, etc...
Laissons les pérorer dans leurs coins. De toute manière, et fort heureusement, leur audience ne dépasse pas Saint Germain, et encore... Quant aux Russes inutile de dire qu’ils ne savent même pas de quoi on parle.
Et ils ont bien de la chance !
Mais viendra un jour, chers lecteurs, où nous finirons par envier aux Russes leur stabilité politique tant critiquée... et peut-être même nous mettrons-nous à la réclamer pour nous aussi.
Mais pour le moment tout le monde est content à Cochon sur Terre, le meilleur des mondes.
A en croire notre presstitute préférée c’était prévu d’avance, tout le monde le savait, cela ne faisait aucun doute pour personne et blablabla...
Extraordinaire !
Une fois encore soit on nous prend pour des c... soit la capacité de mémoire des habitants de Cochon sur Terre ne dépasse pas les trente secondes (selon notre théorie bien connue).
Où les deux à la fois, ce qui est le plus probable.
Tous ces « experts », « kremlinologues » et autres « spécialistes » qui n’ont cessé de détecter des crises entre le président russe et son premier ministre pendant des années, ceux là qui n’ont cessé de prendre leurs petits fantasmes de midinettes politiques germanopratines pour la réalité; les mêmes qui nous prédisaient avec les airs gourmands et gourmés de ceux qui sont en relation directe avec dieu que Medvedev et Poutine étaient à couteaux tirés ; ceux qui prennent la projection de leurs superstitions politiques pour des analyses en nous répétant à longueur d’année que l’un représentait la Russie « moderne », donc « progressiste » (forcément), et l’autre la Russie réac, ringarde et compagnie (on connaît le volapuk de ces gens là, et ce d’autant mieux que son répertoire en est très très limité) ; ceux encore qui nous prédisaient une candidature du Président Medvedev à la présidentielle contre Poutine et blablabla....
Eh bien figurez-vous, chers lecteurs, que tous ces crétins idéologiquement diplômés avaient raison ! Oui, oui, oui, ils avaient raison sur toute la ligne depuis le début. Que Poutine soit candidat à la présidentielle adoubé par Medvedev qui lui-même deviendra le chef de file de la liste de Russie Unie aux élections législatives pour finir Premier Ministre, eh bien oui, ils l’avaient prédit depuis le départ...
Nous voilà rassurés...
Manque de chance ils ont oubliés que les dirigeants Russes ne ressemblent pas aux nôtres, ces pantins incapables d’aucune conviction ni d’aucune perspective à plus long terme que celles des prochaines élections, ces marionnettes manipulées par les sondages et autres tartufferies dont notre digne époque se prétend si fière, comme l'ex sauveur de l'humanité vient de nous donner une preuve de plus avec son lamentable discours prononcé à l'ONU.
Eh bien tant mieux s’ils avaient raison à la fin !
Car c’est un gage de stabilité pour la Russie à l’aube d’une décennie qui s’annonce très agitée et qui risque d’accoucher de bouleversements que bien peu sont capables d’imaginer, sans parler de leurs conséquences.
Bien entendu, pour nos ayatollahs du progressisme, stabilité équivaut à stagnation voir régression (ô anathème !), vision à long terme signifie autoritarisme voir dictature etc... Poutine est assimilé à Staline, même si sa popularité peut faire s’évanouir de jalousie TOUS les politiciens de l’hémisphère occidental ; ils ne cessent de nous remémorer à quel point la Russie est corrompue (c’est bien connu nos démokraties ne le sont ABSOLUMENT pas), à quel point la Russie est un pays où les libertés sont inexistantes (les nôtres sont florissantes et se développent à vue d’oeil, bien entendu) etc, etc...
Laissons les pérorer dans leurs coins. De toute manière, et fort heureusement, leur audience ne dépasse pas Saint Germain, et encore... Quant aux Russes inutile de dire qu’ils ne savent même pas de quoi on parle.
Et ils ont bien de la chance !
Mais viendra un jour, chers lecteurs, où nous finirons par envier aux Russes leur stabilité politique tant critiquée... et peut-être même nous mettrons-nous à la réclamer pour nous aussi.
Mais pour le moment tout le monde est content à Cochon sur Terre, le meilleur des mondes.