Décidément être chroniqueur de la Chronique de Cochon sur Terre n’est pas de tout repos ! Non seulement il faut subir les cochons et leur verbiage toute la journée, sans parler de leur bêtise, mais désormais il faut tenir compte de nos lecteurs et de leur mauvaise humeur (vois le commentaire de ce lecteur publié dans les commentaires du précédent post « Libye où la barbarie à visage humanitaire »)
Peut-être faudrait-il stopper l'expérience ici ?
Peut-être faudrait-il dissoudre la Chronique de Cochon sur Terre et se laver les mains de se qui se passe ?
Après tout quelle importance que nous commentions ce qui se passe sur cette fichue planète en fonction de ce qui se passe dans notre fichu cervelas ?
Hummmm...
Eh bien non, chers lecteurs, ce serait trop facile. Nous resterons fidèles au poste, résistant à Cochon sur Terre tout comme aux lecteurs irascibles de notre Chronique. Car nous avons un tempérament très combatif, ici à la Chronique de Cochon sur Terre, et nous ne nous laisserons pas abattre comme çà. Il faudrait au moins un drone pour ce faire, voire deux. Notez bien que ces drones sont en voie de prolifération quasiment illimitée par les temps qui courent.
Pour des raisons purement humanitaires, bien entendu.
A l’occasion songez, chers lecteurs, à l’honneur qui serait le nôtre d’être assassiné par l’ex futur sauveur de l’humanité à coup de drones !
Etre « éliminé » par un drôle à coup de drone serait particulièrement savoureux...
Bref, nous résisterons, que ce soit bien clair !
Notre lecteur eu l’amabilité et la grande bonté de trouver notre petit lexique « pas mal ».
Pas mal votre lexique !
Nous l’en remercions vivement et ce d’autant plus que ce n’est que le début du dit lexique.
Nous voilà donc réconfortés et encouragés à poursuivre dans cette voie !
Malheureusement notre dernier article, court pour une fois, a semble t’il déclenché sa mauvaise humeur. Il lui a semblé que nous vous prenions, oui chers lecteurs, pour des «cons», selon sa propre expression.
par contre, votre dernier article, bof bof
on dirait que vous nous prenez pour des cons
or nous sommes des lecteurs "avisés" de Cochon sur Terre
et avec le temps, CsT nous a appris à nous intéresser à l'actualité, d'une part, à réfléchir, d'autre part
Nous ne sommes plus les sales brutes d'avant CsT et vous devriez en tenir compte.
Quel choc, chers lecteurs !
Comment croire une chose pareille !
Comment pourriez-vous être « des cons » puisque vous nous lisez ? Cela nous parait un peu contradictoire... et ce d’autant plus qu’il nous précise que nos lecteurs sont des gens « avisés », ce dont nous ne doutons pas une demi-seconde naturellement, pour la même raison que précédemment bien sûr.
Par modestie nous passerons sur le compliment qui suit... mais dont nous prenons acte néanmoins.
En revanche nous nous élevons violemment contre la dernière phrase car nous n’avons jamais pensé que nos lecteurs puissent avoir été de « sales brutes », même avant de lire notre Chronique.
Sans quoi par quel miracle auraient-ils pu s'y intéresser s’ils avaient été bornés où mal embouchés ?
Il poursuit par ces phrases :
« Nous avons tous été horrifiés par les circonstances de la mort de Kadhafi
Nous ne sommes pas dupes de l'impérialisme qui a mené cette guerre
nous avons honte de notre passé proche avec le 'tyran"
et nous sommes parfaitement capables de tirer nous-mêmes ce genre de conclusions.»
Que de grands mots, que de grandes phrases, que de belles indignations ! Malheureusement il semble que cela n’aille pas beaucoup plus loin.
Ah vraiment, vous avez été « tous horrifiés » ? Pas au point de descendre dans la rue pour protester d’après ce que nous pouvons savoir. Et puis qui a évité de regarder volontairement ces images reproduites en boucle par les médias ?
Vous n’êtes peut-être pas « dupes » de l'impérialisme, comme vous dîtes, mais tout le monde en profite tranquillement sans que cela ne provoque beaucoup de traumatismes irréparables chez ceux qui ne sont pas « dupes »...
« honte » de notre passé avec le « tyran », votre ex allié ? Mais lorsqu’il est venu à Paris en visite d’état l’année dernière, qui a manifesté sa honte ? Qui a organisé une manif pour montrer son opposition à sa venue ?
Quant aux « conclusions à en tirer » ... soyons un peu moins hypocrites svp.
Il semble que notre lecteur ait attaché beaucoup d’importance au fait que nous ayons consacré 7 lignes à la mort ignominieuse de Kadhafi alors que notre petit post en compte plus de 50, incluant l’extrait de Russia Today qui nous a semblé intéressant étant donné le point de vue de l’ex agent du MI5 qui y est reproduit. A noter que ce dernier traite non pas de la mort de Kadhafi mais de l’état de la Libye d’aujourd’hui en la comparant à ce qu’elle était sous Kadhafi. Et contrairement à ce qu’affirme notre lecteur un peu plus loin on lit rarement dans la presstitute ce genre de parallèles sinon pour affirmer avec grandiloquence combien la situation est meilleure qu’avant. Un peu sur le même schéma que ce qui se passa en Irak sous Busch Jr., sauf qu’aujourd’hui ce sont les français qui ont sonné l’hallali.
Ensuite il nous reproche de parler de
« ... clichés de l’actualité d’avant-hier archi-rabâchée par tout le monde, car ce que vous dîtes, d'autres nous l'on dit bien avant dans plein d'articles ».
D’abord nous supposons que notre très estimé lecteur veut parler de la mort de Kadhafi sur laquelle nous avons écrit 7 lignes (oui nous l’avons déjà dit).
Nous ne voyons pas pourquoi nous ne pourrions pas traiter de sujets d’actualité même si tout le monde en parle, y compris la presstitute. D’une part tout dépend de la manière dont on en parle, et d’autre part nous ne voyons pas pourquoi nous ne devrions pas parler d’un sujet qui nous tient à coeur sous prétexte que « tout le monde en parle ». Ici, à la Chronique de Cochon sur Terre, nous parlons de sujets d’actualité mais aussi de sujets qui n’en relève pas. Nous traitons de sujets qui nous paraissent importants, bien que nous ne puissions pas les traiter tous, sans se préoccuper de savoir si tout le monde en parle où non. Cela nous est complètement indiffèrent. Et s’il nous arrive d’être d’accord avec tel où tel organe de la presstitute cela ne nous dérange nullement. Nous n’avons pas fait voeu d’être systématiquement contre tout ce que racontait la presstitute, ni personne d’ailleurs. Nous ne fonctionnons pas d’après un système où une idéologie quelconque, ce qui nous permet d’être d’accord où pas sur tel où tel sujet avec des gens avec lesquels nous nous trouverons en désaccord sur d’autres, voire sur tout le reste. Nous ne trouvons pas indigne de nous d’être en accord avec quiconque. Sinon nous ne serions que des idéologues et des esclaves, ce que nous nous évertuons à ne pas devenir. Bien au contraire nous tentons de garder notre pensée la plus libre possible, ce qui ne veut bien évidemment pas dire que nous n’avons pas de convictions.
Or, faire le voeu de s’opposer à tout et à tous systématiquement est aussi stupide que d'acquiescer à tout avec tous par principe.
Ensuite notre lecteur termine de cette manière :
« Parlez nous plutôt comme vous savez si bien le faire des choses que nous ne pouvons pas vérifier si facilement, mais que vous vous connaissez, et qui sont importantes pour notre avenir ».
Nous sommes touchés aux larmes du compliment, cher lecteur, mais il nous a semblé qu’écrire 50 lignes sur la barbarie dont nos gouvernements font preuve en notre nom à tous était d’une importance capitale. Car c’était bien-là le sujet de l’article et non la seule mort de Kadhafi, aussi ignominieuse soit elle. C’est l’ensemble de cette politique, ceux qui en sont à l’origine ainsi que toutes ses conséquences qui sont dignes des barbares dont notre monde regorge désormais. Et c’est bien le problème car il semble que si on a beaucoup parlé de la mort de Kadhafi pour s’en indigner, ceux-là mêmes qui ont glapi haut et fort ne se sont pas privés de diffuser en boucle les images scandaleuses de cette mort même. A notre connaissance bien peu ont remis en cause la barbarie qui consistait à diffuser ces images. Ce qui montre bien que les barbares ne sont pas seulement ceux que l’on croit mais aussi beaucoup de ceux qui hurlent « au loup », sans parler de ceux qui ont regardé avec gourmandise ces mêmes images.
Cher lecteur, le but de ce petit article n’était pas la mort de Kadhafi en particulier mais de :
1) montrer que toute cette affaire de Libye était le fait de barbares, tout comme celle d’Afghanistan, d’Irak où autre, sans parler des politiques intérieures à nos démokraties bien aimées ;
2) montrer que nous sommes gouvernés par des barbares et que notre société est en proie à la barbarie sans que nous en soyons réellement conscients ;
3) montrer surtout qu’il appartient à chacun d’entre nous de se montrer extrêmement prudent pour ne pas sombrer dans cette barbarie car ce n’est pas parce-que nous la dénonçons chez les autres que nous ne le devenons pas nous-mêmes par accoutumance à l'ambiance de barbarie générale qui submerge notre monde.
C’est pour cette raison que nous parlons parfois d’actualités archi-râbachées, car généralement elles sont débordantes de barbarie, notre propre barbarie ; et de ce danger-là personne ne parle.
Où pas suffisamment.
C’est pourtant le plus pressant : ne pas devenir des barbares nous-mêmes à titre individuel.
Mais pour le moment tout le monde est toujours content à Cochon sur Terre, le meilleur des mondes.
Peut-être faudrait-il stopper l'expérience ici ?
Peut-être faudrait-il dissoudre la Chronique de Cochon sur Terre et se laver les mains de se qui se passe ?
Après tout quelle importance que nous commentions ce qui se passe sur cette fichue planète en fonction de ce qui se passe dans notre fichu cervelas ?
Hummmm...
Eh bien non, chers lecteurs, ce serait trop facile. Nous resterons fidèles au poste, résistant à Cochon sur Terre tout comme aux lecteurs irascibles de notre Chronique. Car nous avons un tempérament très combatif, ici à la Chronique de Cochon sur Terre, et nous ne nous laisserons pas abattre comme çà. Il faudrait au moins un drone pour ce faire, voire deux. Notez bien que ces drones sont en voie de prolifération quasiment illimitée par les temps qui courent.
Pour des raisons purement humanitaires, bien entendu.
A l’occasion songez, chers lecteurs, à l’honneur qui serait le nôtre d’être assassiné par l’ex futur sauveur de l’humanité à coup de drones !
Etre « éliminé » par un drôle à coup de drone serait particulièrement savoureux...
Bref, nous résisterons, que ce soit bien clair !
Notre lecteur eu l’amabilité et la grande bonté de trouver notre petit lexique « pas mal ».
Pas mal votre lexique !
Nous l’en remercions vivement et ce d’autant plus que ce n’est que le début du dit lexique.
Nous voilà donc réconfortés et encouragés à poursuivre dans cette voie !
Malheureusement notre dernier article, court pour une fois, a semble t’il déclenché sa mauvaise humeur. Il lui a semblé que nous vous prenions, oui chers lecteurs, pour des «cons», selon sa propre expression.
par contre, votre dernier article, bof bof
on dirait que vous nous prenez pour des cons
or nous sommes des lecteurs "avisés" de Cochon sur Terre
et avec le temps, CsT nous a appris à nous intéresser à l'actualité, d'une part, à réfléchir, d'autre part
Nous ne sommes plus les sales brutes d'avant CsT et vous devriez en tenir compte.
Quel choc, chers lecteurs !
Comment croire une chose pareille !
Comment pourriez-vous être « des cons » puisque vous nous lisez ? Cela nous parait un peu contradictoire... et ce d’autant plus qu’il nous précise que nos lecteurs sont des gens « avisés », ce dont nous ne doutons pas une demi-seconde naturellement, pour la même raison que précédemment bien sûr.
Par modestie nous passerons sur le compliment qui suit... mais dont nous prenons acte néanmoins.
En revanche nous nous élevons violemment contre la dernière phrase car nous n’avons jamais pensé que nos lecteurs puissent avoir été de « sales brutes », même avant de lire notre Chronique.
Sans quoi par quel miracle auraient-ils pu s'y intéresser s’ils avaient été bornés où mal embouchés ?
Il poursuit par ces phrases :
« Nous avons tous été horrifiés par les circonstances de la mort de Kadhafi
Nous ne sommes pas dupes de l'impérialisme qui a mené cette guerre
nous avons honte de notre passé proche avec le 'tyran"
et nous sommes parfaitement capables de tirer nous-mêmes ce genre de conclusions.»
Que de grands mots, que de grandes phrases, que de belles indignations ! Malheureusement il semble que cela n’aille pas beaucoup plus loin.
Ah vraiment, vous avez été « tous horrifiés » ? Pas au point de descendre dans la rue pour protester d’après ce que nous pouvons savoir. Et puis qui a évité de regarder volontairement ces images reproduites en boucle par les médias ?
Vous n’êtes peut-être pas « dupes » de l'impérialisme, comme vous dîtes, mais tout le monde en profite tranquillement sans que cela ne provoque beaucoup de traumatismes irréparables chez ceux qui ne sont pas « dupes »...
« honte » de notre passé avec le « tyran », votre ex allié ? Mais lorsqu’il est venu à Paris en visite d’état l’année dernière, qui a manifesté sa honte ? Qui a organisé une manif pour montrer son opposition à sa venue ?
Quant aux « conclusions à en tirer » ... soyons un peu moins hypocrites svp.
Il semble que notre lecteur ait attaché beaucoup d’importance au fait que nous ayons consacré 7 lignes à la mort ignominieuse de Kadhafi alors que notre petit post en compte plus de 50, incluant l’extrait de Russia Today qui nous a semblé intéressant étant donné le point de vue de l’ex agent du MI5 qui y est reproduit. A noter que ce dernier traite non pas de la mort de Kadhafi mais de l’état de la Libye d’aujourd’hui en la comparant à ce qu’elle était sous Kadhafi. Et contrairement à ce qu’affirme notre lecteur un peu plus loin on lit rarement dans la presstitute ce genre de parallèles sinon pour affirmer avec grandiloquence combien la situation est meilleure qu’avant. Un peu sur le même schéma que ce qui se passa en Irak sous Busch Jr., sauf qu’aujourd’hui ce sont les français qui ont sonné l’hallali.
Ensuite il nous reproche de parler de
« ... clichés de l’actualité d’avant-hier archi-rabâchée par tout le monde, car ce que vous dîtes, d'autres nous l'on dit bien avant dans plein d'articles ».
D’abord nous supposons que notre très estimé lecteur veut parler de la mort de Kadhafi sur laquelle nous avons écrit 7 lignes (oui nous l’avons déjà dit).
Nous ne voyons pas pourquoi nous ne pourrions pas traiter de sujets d’actualité même si tout le monde en parle, y compris la presstitute. D’une part tout dépend de la manière dont on en parle, et d’autre part nous ne voyons pas pourquoi nous ne devrions pas parler d’un sujet qui nous tient à coeur sous prétexte que « tout le monde en parle ». Ici, à la Chronique de Cochon sur Terre, nous parlons de sujets d’actualité mais aussi de sujets qui n’en relève pas. Nous traitons de sujets qui nous paraissent importants, bien que nous ne puissions pas les traiter tous, sans se préoccuper de savoir si tout le monde en parle où non. Cela nous est complètement indiffèrent. Et s’il nous arrive d’être d’accord avec tel où tel organe de la presstitute cela ne nous dérange nullement. Nous n’avons pas fait voeu d’être systématiquement contre tout ce que racontait la presstitute, ni personne d’ailleurs. Nous ne fonctionnons pas d’après un système où une idéologie quelconque, ce qui nous permet d’être d’accord où pas sur tel où tel sujet avec des gens avec lesquels nous nous trouverons en désaccord sur d’autres, voire sur tout le reste. Nous ne trouvons pas indigne de nous d’être en accord avec quiconque. Sinon nous ne serions que des idéologues et des esclaves, ce que nous nous évertuons à ne pas devenir. Bien au contraire nous tentons de garder notre pensée la plus libre possible, ce qui ne veut bien évidemment pas dire que nous n’avons pas de convictions.
Or, faire le voeu de s’opposer à tout et à tous systématiquement est aussi stupide que d'acquiescer à tout avec tous par principe.
Ensuite notre lecteur termine de cette manière :
« Parlez nous plutôt comme vous savez si bien le faire des choses que nous ne pouvons pas vérifier si facilement, mais que vous vous connaissez, et qui sont importantes pour notre avenir ».
Nous sommes touchés aux larmes du compliment, cher lecteur, mais il nous a semblé qu’écrire 50 lignes sur la barbarie dont nos gouvernements font preuve en notre nom à tous était d’une importance capitale. Car c’était bien-là le sujet de l’article et non la seule mort de Kadhafi, aussi ignominieuse soit elle. C’est l’ensemble de cette politique, ceux qui en sont à l’origine ainsi que toutes ses conséquences qui sont dignes des barbares dont notre monde regorge désormais. Et c’est bien le problème car il semble que si on a beaucoup parlé de la mort de Kadhafi pour s’en indigner, ceux-là mêmes qui ont glapi haut et fort ne se sont pas privés de diffuser en boucle les images scandaleuses de cette mort même. A notre connaissance bien peu ont remis en cause la barbarie qui consistait à diffuser ces images. Ce qui montre bien que les barbares ne sont pas seulement ceux que l’on croit mais aussi beaucoup de ceux qui hurlent « au loup », sans parler de ceux qui ont regardé avec gourmandise ces mêmes images.
Cher lecteur, le but de ce petit article n’était pas la mort de Kadhafi en particulier mais de :
1) montrer que toute cette affaire de Libye était le fait de barbares, tout comme celle d’Afghanistan, d’Irak où autre, sans parler des politiques intérieures à nos démokraties bien aimées ;
2) montrer que nous sommes gouvernés par des barbares et que notre société est en proie à la barbarie sans que nous en soyons réellement conscients ;
3) montrer surtout qu’il appartient à chacun d’entre nous de se montrer extrêmement prudent pour ne pas sombrer dans cette barbarie car ce n’est pas parce-que nous la dénonçons chez les autres que nous ne le devenons pas nous-mêmes par accoutumance à l'ambiance de barbarie générale qui submerge notre monde.
C’est pour cette raison que nous parlons parfois d’actualités archi-râbachées, car généralement elles sont débordantes de barbarie, notre propre barbarie ; et de ce danger-là personne ne parle.
Où pas suffisamment.
C’est pourtant le plus pressant : ne pas devenir des barbares nous-mêmes à titre individuel.
Mais pour le moment tout le monde est toujours content à Cochon sur Terre, le meilleur des mondes.
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